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La Chine qualifie de ridicules les accusations d’ingérence électorale aux États-Unis

Beijing, 23 octobre (Prensa Latina) La Chine a aujourd’hui a considérée de ridicules et totalement absurdes les accusations du fondateur du réseau social Facebook, Mark Zuckerberg, sur les prétendus plans destinés à « interférer dans les élections » présidentielles des États-Unis de 2020.

Dans un bref commentaire sur la question, le Ministère des Affaires Étrangères a souligné que le pays asiatique n’avait aucun intérêt dans les affaires intérieures des autres et encore moins dans les élections nord- américaines.

La Chine, a-t-il rappelé, a toujours respecté le principe de non-ingérence. Ceux qui lancent des accusations contre nous devraient présenter des preuves.

La chancellerie a ainsi répondu aux déclarations de Zuckerberg, qui a déclaré à la chaîne de télévision NBC News que la Russie, l’Iran et la Chine tentent de s’ingérer dans les élections étasuniennes de 2020.

Y compris cette semaine, Facebook a annoncé sur son blog la suppression de quatre réseaux distincts de comptes, pages et groupes du réseau social et d´Instagram pour avoir participé à ‘un comportement non authentique coordonné’.

Ce n’est pas la première fois que surgissent les mêmes accusations depuis les Etats-Unis lorsque l´on s´approche d’un processus électoral et que de nombreuses voix le considèrent ce réseau social comme un outil à des fins politiques.

L’année dernière, avant les élections de mi-parcours, la Chine a également été accusée d’ingérence, ce qu’elle a nié et qualifié d’acte infondé.

Par ailleurs, mais toujours sur le thème des idées pouvant être opposées à certains pouvoirs, la Maison Blanche a confirmé hier la prochaine annulation de ses abonnements au New York Times et au Washington Post, après que le président Donald Trump ait suggéré une telle procédure.

Selon la publication The Hill, la secrétaire de presse de la Maison Blanche, Stephanie Grisham, a confirmé à ce média qu’ils n’avaient pas l’intention de renouveler les abonnements des deux grands journaux, qui attaquent souvent le mandataire républicain.

Dans une interview accordée avant-hier soir à la chaîne de télévision Fox News, Trump a déclaré qu’ « ils ne veulent même plus avoir le Times à la Maison Blanche. Nous allons probablement en finir avec cela et également avec le Washington Post. Ils sont faux », a estimé le mandataire républicain.

Le chef d´État s’en prend souvent aux deux publications pour la couverture qu´elles donnent de son administration, qu’il juge injuste, les qualifiant même de ‘corrompues’.

Il a été jusqu´à qualifier les médias qui le critiquent d’ennemis du peuple.

Trump, qui n’a participé à aucun des trois dîners des correspondants de la Maison Blanche depuis son arrivée au pouvoir, bien que les dirigeants nord-américains assistent traditionnellement à cet événement, a même critiqué Fox News, la chaîne de sa préférence, pour avoir diffusé des sondages lui étant défavorables.

peo/lb/ymr/ mv/mar/gdc

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