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Argentine : souvenir du premier voyage de Maradona à Cuba

Buenos Aires, 3 décembre (Prensa Latina) Le premier voyage de Diego Armando Maradona à Cuba, organisé par l’Agence d´Information Prensa Latina pour recevoir un prix décerné par son enquête sportive annuelle, a été remémoré par le journaliste Victor Ego Ducrot.

A quelques jours de son départ physique, dont la douleur se fait encore sentir dans cette terre australe, le célèbre écrivain, journaliste et professeur de l’Université de La Plata a rappelé cette traversée qui a commencé lors de l’historique Mondial du Mexique de 1986, quand l’équipe de Prensa Latina est allée couvrir l’événement et a établi le premier contact avec Maradona.

Dans des déclarations à la station Radio Cut, Ducrot a rappelé ce premier moment et ce qui suivrait après avoir remporté le prix du meilleur sportif latino-américain de l’année lors de l’enquête annuelle réalisée par l’Agence latino-américaine d’information ayant son siège à La Havane.

Le journaliste a donné des détails sur ce voyage du grand Diego dans la capitale cubaine en juillet 1987, avec la ferveur encore présente des deux buts marqués en finale du Mondial du Mexique.

Une visite qui, de l’avis du chroniqueur sportif, a marqué pour toujours « El Pelusa » après avoir rencontré Fidel Castro, le leader historique de la Révolution cubaine avec lequel il a tissé des liens profonds d´amitié et qu’il a considéré comme son deuxième père.

‘Le voyage organisé par Prensa Latina l’a conduit à Cuba, il a permis le premier contact de Maradona avec Fidel’, a déclaré Ducrot, qui à cette date faisait partie de l’équipe de journaliste sportifs de l’Agence et l’a accompagné tout au long de son séjour.

Parmi les nombreuses anecdotes, le journaliste a notamment rappelé de façon particulière un moment lors duquel plusieurs collègues ont joué au ballon avec Maradona sur une plage. « Nous jouions avec la tête, c’était lui contre nous cinq, nous n’avons jamais pu l’arrêter », a-t-il raconté.

Comme tous ses compatriotes, Ducrot a souligné qu’avec le départ du « Pibe de Oro », l’Argentine perd la dernière idole populaire, un paradigme. 

peo/npg/may/cvl

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