La Havane, 20 octobre (Prensa Latina) La présence des formes de gestion non étatique dans le commerce extérieur de Cuba est aujourd’hui importante et en augmentation constante après un peu plus d’un an de son approbation, a affirmé une source spécialisée.
Jusqu’au 8 de ce mois, ces organisations totalisaient 198 contrats d’exportation d’un montant de 15,3 millions de dollars, et 5 304 contrats d’importation d’une valeur de plus de 83,9 millions de dollars.
Dans ce contexte, on note particulièrement l’importance de l’industrie de l’informatique et des communications, qui a démontré l’utilité des partenariats entre les entreprises publiques et le secteur privé, et 2022 devrait être une année de croissance.
Selon une dépêche de l’Agence Cubaine d’Informations, les micro, petites et moyennes entreprises (MPME) sont des pionnières dans ce domaine, parmi lesquelles Dofleini Software et Ingenius, qui ont des liens avec les entreprises Desoft et Softel, respectivement.
Carmen Fernández, directrice des affaires du Groupe Entrepreneurial de l’Informatique et des Communications (GEIC), a indiqué que non seulement les entreprises les plus grandes exportent, mais aussi des travailleurs indépendants, principalement vers l’Espagne et le Canada.
S’agissant de la possibilité d’importer par l’intermédiaire du GEIC, elle a souligné la création de la quincaillerie électronique de Solintel, l’une des entités autorisées au commerce extérieur et qui s’efforce de répondre à la nécessité des formes de gestion non étatiques d’obtenir des produits informatiques.
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