À cet égard, le communiqué se réfère à la résolution la plus récente adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies en novembre dernier sur la nécessité de mettre fin au blocus économique, commercial et financier imposé à la nation antillaise depuis plus de six décennies.
La déclaration mentionne également les obstacles aux transactions financières avec l’île du fait de son inclusion dans la liste unilatérale de Washington des pays qui soutiennent le terrorisme.
Le texte adopté par le forum exprime l’engagement des deux régions pour le renouveau et le renforcement des relations « fondées sur des valeurs et des intérêts communs et des liens économiques, sociaux et culturels solides».
Le sommet UE-CELAC, qui représente 60 pays et un milliard d’habitants, a souligné la volonté de travailler pour être plus forts face aux défis actuels, notamment l’insécurité alimentaire, la pauvreté, les inégalités et la crise économique.
peo/rgh/wmr