La source a fait référence aux données publiées lors du procès qui s’est tenu dans cette ville située à 100 kilomètres au nord d’Helsinki.
Les quatre personnes suspectées de complot devraient être accusées d’avoir planifié une attaque terroriste, d’avoir utilisé des imprimantes 3D pour fabriquer et posséder des armes à feu.
Les descentes de police à leur domicile ont révélé d’autres cibles potentielles, notamment des parlementaires, des militants antifascistes et des membres de minorités.
Le gouvernement dirigé par Marin a démissionné après la défaite de son Parti social-démocrate (SDP) lors des élections parlementaires du 2 avril dernier.
Trois jours après, lors d’une conférence de presse, Marin a annoncé sa proposition de quitter le poste de chef du SDP, soulignant qu’elle avait l’intention de rester membre du parlement finlandais.
Le 12 septembre, elle a finalement démissionné du Parlement.
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