Lors du vote, la représentation tchèque fait partie des 14 pays opposés à une résolution présentée par la Jordanie appelant à une trêve immédiate et durable des hostilités, ainsi qu’à une condamnation des actes terroristes contre les Palestiniens et les Israéliens.
Chernojova a déclaré que son pays n’a rien à faire à l’ONU, jugeant inacceptable l’absence de condamnation du mouvement de résistance islamique Hamas, a souligné la presse de la capitale.
Les bombardements israéliens ont fait plus de 6 000 morts et 16 000 blessés parmi les 2,3 millions d’habitants de la bande de Gaza, enclave d’à peine 360 kilomètres carrés, qui fait actuellement l’objet d’une opération terrestre.
La résolution de la Jordanie, parrainée par une cinquantaine d’États lors de l’Assemblée générale des Nations unies, a reçu le soutien écrasant de 120 pays et 45 abstentions, en plus des voix contre susmentionnées. Elle n’a pas de caractère contraignant, mais une force morale, estime ici la presse.
Lors des bombardements de Tel-Aviv, des milliers de bâtiments ont été détruits, dont près de 200 écoles, dont beaucoup sous les auspices de l’ONU, au moins trois hôpitaux, tandis que quelque 2 000 enfants, des dizaines de journalistes et des fonctionnaires des Nations Unies ont été tués.
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