« Pendant un mois, les habitants de l’enclave ont été privés d’aide, tués et bombardés jusqu’à ce qu’ils quittent leurs maisons », a critiqué sur X (anciennement Twitter) l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine au Moyen-Orient (Unrwa).
Des luttes quotidiennes pour trouver du pain et de l’eau, tandis que les coupures de courant séparent les citoyens de leurs proches et du reste du monde, a décrit l’institution.
Selon l’Unrwa, il s’agit d’un déplacement forcé et d’une tragédie humanitaire de proportions colossales.
Martin Griffiths, secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires des Nations unies, s’est également prononcé en ce sens sur le même réseau social.
« Selon les rapports, 10 000 personnes ont été tuées depuis le 7 octobre (…) 10 000 personnes en un mois. Cela défie l’humanité », a-t-il manifesté.
Pour sa part, le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (Unicef) a signalé que les enfants handicapés de la bande de Gaza étaient extrêmement exposés à l’agression israélienne.
L’Unicef a diffusé une vidéo sur Taha Amawy, un enfant handicapé, qui raconte ses conditions de vie difficiles depuis le début du nouveau cycle de violence.
Juliette Touma, porte-parole de l’Unrwa, a expliqué que cet organisme s’efforçait d’augmenter l’aide humanitaire en provenance d’Égypte afin de soulager les 2,3 millions de Palestiniens qui y vivent.
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