Nous ne pouvons pas nous passer de l’acier russe, a manifesté le ministre tchèque.
Sikela avait déjà indiqué précédemment qu’en octobre les entreprises tchèques avaient repris leurs achats de gaz naturel russe, malgré l’interdiction de l’UE.
La République tchèque a pourtant été l’un des pays à l’origine de l’interdiction de l’approvisionnement en gaz de la Fédération de Russie vers l’Europe et de l’introduction d’un prix maximum.
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