Selon le communiqué, la réunion de jeudi a accueilli le ministre des Mines et de l’Énergie de la République Fédérative du Brésil, Alexandre Silveira de Oliveira, qui « sera incorporée dans la Charte de Coopération OPEP+ à partir de janvier 2024 ».
Ainsi, le pays sud-américain deviendra le 24e membre de ladite Charte, document fondateur de l’alliance OPEP+ scellée en 2016.
Le bloc a également annoncé que la prochaine réunion ministérielle de l’alliance se tiendrait dans cette capitale le 1er juin de l’année prochaine.
Les membres du groupe sont l’Iran, l’Irak, le Koweït, l’Arabie saoudite, le Venezuela, la Libye, les Émirats arabes unis, l’Algérie, le Nigéria, l’Angola, le Gabon, la Guinée équatoriale et la République du Congo.
L’initiative OPEP+ a permis de renforcer les liens avec d’autres grands producteurs d’hydrocarbures : Azerbaïdjan, Bahreïn, Brunei, Kazakhstan, Malaisie, Mexique, Oman, Russie, Soudan et Soudan du Sud.
À la lumière des discussions d’aujourd’hui, l’OPEP+ procédera à de nouvelles réductions volontaires d’extraction de pétrole brut, qui s’élèveront à plus de 2 millions de barils par jour (bpd) au premier trimestre 2024.
Les pertes de pompage s’ajoutent à la réduction de 1,66 million de bpd convenue en avril dernier jusqu’à la fin de 2024.
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