« Il existe des routes reliées à la Turquie pour le transport vers les pays européens. Par ailleurs, les livraisons de gaz liquéfié ont gagné en demande. Il existe des voies alternatives, mais cela apportera des changements », a souligné Peskov.
En début de semaine, le Premier ministre slovaque Robert Fico, après une réunion avec son homologue ukrainien Denis Shmygal à Uzhgorod, en Ukraine, a déclaré que Kiev et Bratislava avaient conclu un accord préliminaire sur la poursuite du transit du gaz russe vers l’Europe.
L’actuel contrat de cinq ans entre les compagnies Naftogaz, d’Ukraine, et Gazprom, de Russie, a été conclu fin 2019. Le gaz russe traverse l’Ukraine vers l’Autriche, la Slovaquie, l’Italie et la Hongrie. Le volume de transit actuel est de 42 millions de mètres cubes par jour.
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