Le chef d’État a expliqué que ces trois dimensions de la guerre contre l’île sont la meilleure façon de synthétiser et de définir les actions hostiles contre un petit pays.
Díaz-Canel a affirmé que les jeunes disposent des armes les plus redoutables dans cette bataille pour la vérité, car ils peuvent mieux expliquer à leurs contemporains les processus révolutionnaires et l’impact du blocus imposé par les États-Unis.
Le président a souligné que la Révolution est une œuvre immense et en même temps le moyen de soutenir l’idéal d’un Cuba avec tous et pour le bien de tous.
Il a souligné que même dans les pires circonstances, sous le blocus et les menaces, l’île s’engage en faveur du plein développement du potentiel de l’être humain et du chemin qui mène au plus haut degré de justice sociale possible.
De l’avis du président, les débats du XIIe Congrès de l’UJC et son rapport central décrivent sans paternalisme ni formalités la complexité de la société, de l’époque et de la jeunesse elle-même.
La jeunesse cubaine avance dans la dynamique révolutionnaire, face à une logique impériale qui cherche à nous absorber, à nous vider de sens et à nous écraser, a-t-il souligné.
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