Sans qu’un plan B soit connu pour l’instant pour des épreuves comme celles en eau libre de natation, de triathlon et de paratriathlon, cela constitue un sérieux défi pour le comité d’organisation du rendez-vous olympique, qui débutera le 26 juillet prochain, et la Mairie de Paris, qui a investi des millions d’euros dans la dépollution du célèbre fleuve.
Selon la source, le niveau de pollution présent dans la Seine est deux à trois fois supérieur à celui admis pour une pratique saine des nageurs.
La maire de Paris, Anne Hidalgo, et le président français Emmanuel Macron ont promis de se baigner dans la Seine qui sera l’un des protagonistes des Jeux Olympiques de cet été.
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