« Il est urgent que la communauté internationale accroisse son soutien et ses ressources financières pour permettre la fourniture de services vitaux et de fournitures essentielles », souligne un communiqué de l’OMS diffusé ici par les médias locaux.
Récemment, le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires a indiqué que seuls trois hôpitaux étaient opérationnels à Port-au-Prince, où les gangs provoquent l’effondrement du système de santé.
Dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince, l’Hôpital de la Paix, le Ti Plas Cazo et l’Elizer Germain sont réellement ouverts, tandis que 18 autres ont leurs services restreints ou sont temporairement fermés.
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