Valdés a souligné que les effets génèrent des coûts annuels équivalents à huit pour cent du revenu national de ces nations.
C’est ce qu’il a exprimé lors de la IVe Conférence internationale sur les petits États insulaires en développement (PEID), un espace où il a appelé « à mobiliser des ressources internationales nouvelles, supplémentaires, prévisibles et adéquates pour capitaliser sur le fonds des pertes et des dommages dérivés du changement climat ».
Selon la Présidence de la République sur le réseau social X, le vice-président dirige la délégation cubaine qui assiste à la réunion, tenue sous le slogan Tracer la voie vers une prospérité résiliente.
Cette IVe Conférence vise à évaluer la capacité des PEID, près de 60 petits territoires insulaires des Caraïbes, du Pacifique et de l’océan Indien, à parvenir au développement durable.
Parrainé par les Nations Unies, le forum réunira plus de cinq mille délégués jusqu’au 30 mai prochain à Saint John, Antigua-et-Barbuda.
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