Selon la source, la centrale a rejeté environ 7 800 tonnes d’eau lors du dernier cycle, qui a débuté le 28 juin dernier, et aucun niveau anormal de tritium n’a été détecté dans les eaux voisines.
Bien que ce déversement d’eau soit le septième depuis le début du processus, il s’agit du troisième des sept cycles de déversement prévus pour l’exercice 2024.
Avant d’être rejetée, l’eau utilisée pour refroidir le combustible fondu passe par un système avancé de traitement des liquides qui élimine la plupart des radionucléides, à l’exception du tritium.
Tepco a indiqué avoir détecté 18 becquerels de tritium par litre dans l’eau de mer échantillonnée à la sortie de l’installation, soit en dessous de sa propre limite de 700 becquerels requise pour stopper le déversement et bien en dessous de la limite de l’Organisation mondiale de la santé de 10 000 becquerels pour l’eau potable.
L’entreprise japonaise prévoit de déverser environ 54 600 tonnes au cours de sept cycles pendant l’exercice 2024.
La première série de rejets d’eau a eu lieu en août 2023, étape clé dans le démantèlement de la centrale de Fukushima Daiichi.
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