Dans un acte de célébration du 75ème anniversaire des Conventions de Genève de 1949, le président a souligné l’importance d’un système qui établit des limites efficaces aux formes de violence et qui s’attaque aux conséquences qu’elles ont sur les personnes.
« Il s’agit d’un principe fondamental conforme à notre recherche constitutionnelle du bien commun et au principe de paix, pierre angulaire du travail de ce gouvernement », a souligné le chef de l’État.
Il a souligné que le Comité international de la Croix-Rouge est actif non seulement sur les champs de bataille, mais aussi en faveur des migrants en haute mer, en soutenant les familles des migrants portés disparus et en œuvrant pour la dignité des personnes détenues.
L’homme politique de 65 ans a souligné que la Commission présidentielle et des droits de l’homme de son pays a pour tâche de contribuer à forger la réconciliation dans la société afin que la paix soit consolidée et que soit évité le retour des conditions de violence.
Au Palais National de la Culture (siège du Gouvernement), l’ancien diplomate a évoqué les actions qu’il mène en interne et a souligné celles au niveau international.
Nous croyons en un système mondial fondé sur le respect du droit humanitaire, dans lequel le meilleur usage de la force militaire est de maintenir la paix et d’aider les pays qui cherchent à sortir d’un conflit.
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