Sur son profil du réseau social X, le dirigeant a déclaré que les bombardements de l’armée israélienne depuis octobre dernier ont causé la mort de plus de 40 000 Palestiniens, fait près de 92 000 blessés et près de deux millions de personnes déplacées.
Le jour où les générations futures demanderont pourquoi nous n’avons pas arrêté l’holocauste, nous n’aurons pas de réponse digne et raisonnable, a-t-il manifesté dans son message.
Le directeur général du bureau d’information du gouvernement de Gaza, Ismail Al-Thawabta, a précisé que parmi la population assassinée « de manière claire et massive » se trouvent 16 480 mineurs.
Il a précisé que 115 de ces personnes étaient nées et décédées pendant le conflit, et 35 au total sont mortes de faim et de malnutrition, situation qui touche environ trois mille cinq cents personnes dans toute l’enclave côtière.
Il a également indiqué que plus de 17 000 enfants vivent sans leurs parents ou sans l’un d’eux parce qu’ils ont été tués par les militaires israéliens.
Le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) a récemment alerté sur la situation humanitaire grave que vit la population civile à Gaza.
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