Le porte-parole du ministère iranien, Nasser Kanaani, a rejeté les accusations non fondées formulées par le procureur général nord-américain Merrick B. Garland selon lesquelles Téhéran s’efforçait d’interférer dans les élections présidentielles de 2024, selon l’agence de presse Tasnim.
Dans un communiqué publié vendredi, Kanaani a rejeté l’affirmation du procureur selon laquelle certains pays, y compris l’Iran, ont intensifié leurs efforts pour interférer dans les élections présidentielles nord-américaines.
Le porte-parole a également souligné que ces accusations poursuivent des objectifs politiques internes à Washington.
Il a également rappelé aux responsables étasuniens que les problèmes internes de leur pays, qui ont des racines structurelles, politiques et sociales, ne peuvent être résolus en accusant d’autres pays ou en lançant des accusations contre des étrangers.
Tasnim a rappelé que le mois dernier, la mission permanente de l’Iran auprès des Nations unies a qualifié d’infondées les accusations des États-Unis sur de prétendues tentatives d’interférence dans les élections présidentielles nord-américaines de 2024.
La mission iranienne de l’ONU a rejeté un communiqué émis par trois agences de renseignement fédérales nord-américaines qui accusaient Téhéran de tenter d’interférer dans les élections présidentielles de 2024 et d’attaquer les différentes campagnes politiques avec des opérations cybernétiques supposées.
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