« Aux bébés tués par les bombardements à Gaza, nous ajoutons désormais les bébés tués par le froid. Les enfants de Gaza meurent littéralement de froid », a écrit le président sur le réseau social X.
En plus de passer en revue l’histoire récente du conflit, le chef de l’État a estimé que l’influence nationaliste a forgé un courant politique sous le nouvel État d’Israël qui a conduit à l’expulsion violente des Palestiniens de leurs propres maisons et villes, ce qui se produit depuis le milieu du siècle dernier.
« Il n’y a jamais eu de justice pour le peuple palestinien, il a été séparé dans sa propre patrie et ses factions ont dû recourir aux armes et à la lutte de libération nationale », a-t-il manifesté.
Il a ajouté que le conflit durait depuis des décennies et qu’il avait existé la possibilité d’une solution pacifique lorsque des factions progressistes au sein du peuple palestinien, Yasser Arafat, et du peuple israélien, Isaac Rabin, un juif né en Palestine, ont décidé (…) de se serrer la main. Il a regretté à ce stade que les protagonistes de la paix soient actuellement morts et pour la plupart assassinés.
« Aujourd’hui, l’action du sionisme, fortement soutenu par le capital financier international qu’il contrôle partiellement, empêche la paix et déchaîne l’horreur sur la Palestine, entraînant ses factions les plus radicales dans le piège tendu par le terrorisme », a-t-il déclaré.
Il a ensuite manifesté que la paix est une priorité humaine et a recommandé que les courants progressistes du monde arabe, d’Israël et des États-Unis cherchent à se rencontrer.
« La Colombie doit être attentive à apporter son aide chaque fois que cela lui est demandé. Le chemin de la Colombie à l’intérieur et à l’extérieur du pays est celui de la paix », a-t-il souligné.
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