« Nous sommes heureux de cette première victoire, mais comme nous ne sommes pas prêts à céder, nous exigeons une deuxième victoire, encore plus importante : la fin de ce blocus génocidaire qui constitue la plus grande injustice qu’un peuple puisse subir », a-souligné l’association dans une déclaration.
L’organisation, qui soutient Cuba et sa Révolution depuis plus de 30 ans, a dénoncé le fait que la nation caribéenne n’aurait jamais dû figurer sur cette liste, ce qu’elle attribue à la « haine des autorités étasunienne envers un petit pays ».
Selon Cuba Si France, cette haine est basée sur la décision de l’île de promouvoir un projet socialiste.
Le gouvernement des États-Unis a annoncé mardi la décision du président Joseph Biden de retirer Cuba de cette liste, un mécanisme qui manque par ailleurs de soutien international, et ce quelques jours avant de quitter la Maison Blanche.
L’association française a condamné les préjudices causés par la réinscription en janvier 2021 de la plus grande des Antilles sur cette liste, une mesure dictée par Donald Trump, car elle impacte notamment les sphères financières et économiques internationales.
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