Si nous voulons reconstruire la Syrie et sauver son peuple de la pauvreté, ces mesures punitives doivent cesser, a déclaré Pedersen lors d’une conférence de presse dans la capitale.
Il a déclaré qu’il existe une volonté au sein de la communauté internationale de soutenir la Syrie et qu’il est très important que les pays reconsidèrent les sanctions imposées.
Il existe un consensus international pour soutenir la Syrie dans le processus de transition politique. Nous voulons une transition globale et il est nécessaire de former une armée nationale qui inclut toutes les factions, a déclaré l’envoyé de l’ONU.
À cet égard, il a déclaré que le processus politique doit être mené et assumé par tous les Syriens et non imposé de l’extérieur.
Il a également réitéré que l’occupation israélienne de terres en Syrie est totalement inacceptable et injustifiable.
Il a expliqué que certains des principes de la résolution 2254 du Conseil de Sécurité de l’ONU sont toujours applicables, notamment la protection de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de la Syrie et la nécessité d’un processus politique global avec l’aide des Nations Unies.
La Syrie traverse une complexe depuis la chute du gouvernement de Bachar al-Assad, le 8 décembre, et désormais aux mains des factions islamistes désormais au pouvoir à Damas.
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