Un communiqué du mécanisme d’intégration latino-américain et caribéen a considéré comme absolument inacceptable et inhumaine, et ce en violation du droit international, la tentative de « prise de contrôle » de ces territoires par Washington.
Le bloc a estimé inacceptable que le gouvernement états-unien considère comme valide le processus de nettoyage ethnique mené par Israël contre le peuple palestinien sur ses propres terres historiques, et ce après plus de 15 mois d’escalade génocidaire cruelle et ininterrompue contre ce peuple dans cette enclave.
L’ALBA-TCP a souligné que cette proposition viole de manière flagrante les buts et les principes de la Charte des Nations Unies, le droit international et les droits de l’homme dans leur intégralité et est régie par la doctrine de sécurité nationale annoncée par les États-Unis.
L’Alliance a noté que cette politique, « d’une manière inhabituelle et intempestive, envisage l’obtention de butins économiques à la suite de chaque intervention militaire sous la maxime de la paix par la force ».
Le bloc a déclaré que la bande de Gaza fait partie intégrante de l’État de Palestine, au même titre que la Cisjordanie et Jérusalem-Est, « territoires occupés par Israël depuis 1967 et appartenant aux Palestiniens ».
Le document a réaffirmé que seuls eux ont le plein droit d’exister, de vivre et de développer le potentiel économique sur leur territoire, et ce dans le cadre du principe élémentaire de l’autodétermination des peuples et sous la protection des résolutions pertinentes des Nations Unies.
En ce sens, l’ALBA-TCP s’est jointe au rejet quasi unanime de la communauté internationale contre ces prétentions « irresponsables, fascistes et expansionnistes ».
Elle a également exprimé, une fois de plus, sa pleine solidarité avec le peuple palestinien dans sa lutte héroïque de résistance contre le génocide, l’occupation israélienne illégale et son droit inaliénable à exister en tant qu’État indépendant et peuple libre.
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