Selon les médias locaux, parmi ces questions, la sécurité serait l’une de celles qui bénéficierait le plus d’attention car elle constitue l’une des préoccupations majeures des Équatoriens, frappés par les taux élevés de violence dans le pays.
Le dirigeant sud-américain a anticipé qu’il demandera un traitement équitable sur la question commerciale et que les groupes du crime organisé soient désignés comme terroristes, une mesure déjà prise au début de l’année dernière en Équateur.
Quito et Washington ont également des accords de coopération militaire maritime contre le trafic de drogue depuis 2023.
Le voyage du président de la nation sud-américaine se déroule en pleine campagne électorale en vue du second tour, le 13 avril prochain. Noboa cherche sa réélection pour un mandat complet (2025-2029) face à la candidate du Mouvement Révolution Citoyenne, Luisa González.
Environ 13 millions d’Équatoriens sont appelés à voter et celui qui remportera la victoire prendra ses fonctions le 24 mai.
Au premier tour du 9 février, contrairement à ce qu’indiquaient les sondages officiels, qui auguraient la victoire de Noboa, les deux concurrents ont fini à galité technique. L’occupant actuel du Palais de Carondelet a obtenu 44,17 pour cent des voix, et González, 44 pour cent.
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