Elle a indiqué que ce chiffre était dû à l’augmentation des opérations, suite à l’incorporation des 160 premiers agents d’action rapide formés par la DGM, et au soutien des forces armées et d’autres organismes de sécurité.
Au cours de la période susmentionnée, les agents ont effectué 176 opérations et le plus grand nombre de personnes arrêtées a été signalé à Higüey, province de La Altagracia, en particulier à Friusa, Mata Mosquito, Villa Playwood, Kosovo et Haiti Chiquito, avec deux mille 327 Haïtiens.
La DGM a assuré dans un communiqué qu’elle maintiendrait l’intensité de sa politique migratoire afin de sauvegarder l’ordre public, la sécurité des citoyens et la souveraineté nationale.
En octobre dernier, le gouvernement de Luis Abinader a annoncé un plan qu’il a immédiatement mis en œuvre pour expulser jusqu’à 10 000 sans-papiers par semaine dans le but « de réduire l’excès de population migrante perçu dans les communautés ».
Comme argument, le président a également souligné que l’instabilité dans la voisine Haïti génère « une pression significative sur le territoire dominicain, et il a donné comme exemple le fait qu’en 2023 les soins médicaux aux citoyens de ce pays représentaient 9,9 pour cent du total des services du système sanitaire».
Il a également indiqué que sur les 200 000 mineurs étrangers qui étudient dans les écoles dominicaines, près de 148.000 sont originaires de Port-au-Prince.
peo/ro/mpv