Ces expulsions massives font partie d’une politique migratoire de plus en plus rigide adoptée par le gouvernement dominicain sous prétexte de lutter contre l’immigration illégale, a précisé le site numérique Haiti News 2000.
Des hommes, des femmes et des enfants, souvent dans des situations très précaires, sont interceptés dans les quartiers ouvriers, sur les chantiers ou à la sortie des hôpitaux, a commenté la source.
Les autorités dominicaines sont accusées d’expulsions arbitraires sans respect des droits fondamentaux des migrants.
En Haïti, la démolition du quartier de Mata Mosquito, connu sous le nom de Petit Haïti en République dominicaine, situé sur la côte de Bávaro, suscite une inquiétude croissante.
Des centaines de maisons, d’immeubles et d’entreprises ont été réduits en ruine, a commenté le quotidien numérique Haïti Libre.
Les Haïtiens ont vu leurs maisons détruites avec impuissance et désespoir, car beaucoup d’entre eux y vivaient depuis cinq, 10 ou 15 ans.
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