Sur le réseau social X, le chef d’État a réitéré sa dénonciation du génocide perpétré par Israël et assuré que la nation caribéenne n’oubliera pas le peuple palestinien « sous les éclats d’extermination ».
« A 77 ans de la Nakba, catastrophe qui a marqué cette souche qui résiste malgré la mort, nous continuons à accompagner la dignité de ceux qui ne se laissent pas vaincre et à dénoncer sans relâche les génocidaires d’Israël », a-t-il manifesté.
Jeudi, l’Institut cubain d’amitié avec les peuples (ICAP) a dénoncé que la Nakba n’est pas un événement du passé, mais un processus continu de colonisation, d’apartheid et de nettoyage ethnique qui continue à déchirer la Palestine.
Lors d’un événement organisé à son siège, la première vice-présidente de l’ICAP, Noemi Rabaza, a souligné que Cuba, fidèle à sa tradition anti-impérialiste et à sa vocation pour la justice, élève une fois encore sa voix pour dénoncer ce génocide.
« La Révolution cubaine a été témoin de la complicité des puissants : ceux-là mêmes qui bloquent Cuba sont ceux qui arment et protègent le régime sioniste », a-t-elle souligné.
Selon l’agence de presse cubaine, Rabaza a condamné les actes fréquents de violence contre la population civile palestinienne, y compris les bombardements, les incendies des camps de personnes déplacées et de réfugiés, ainsi que les attaques brutales sur les hôpitaux et les ambulances.
« Nous exigeons un cessez-le-feu et l’acheminement immédiat de l’aide humanitaire, la libération de tous les prisonniers, la fin de l’occupation et du génocide », a-t-elle déclaré.
Pour sa part, l’étudiant palestinien Mohammed Dalloul a remercié la solidarité et affirmé que Cuba comprend la lutte de son peuple comme peu de nations, car elle est également victime d’un blocus génocidaire.
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