Dans une déclaration commune, elles se sont déclarées préoccupées par la situation actuelle et ont demandé que les professionnels de la presse soient autorisés à circuler librement sur le territoire palestinien bloqué.
« Les journalistes doivent faire face à de nombreuses privations et difficultés dans la zone de guerre, nous sommes profondément préoccupés par la famine qui menace leur survie », ont souligné ces médias.
Gaza subit une agression israélienne depuis le 7 octobre 2023, en représailles aux attaques meurtrières du Hamas, avec la destruction de son infrastructure civile et plus de 50 000 palestiniens tués.
Au cours des derniers mois, l’offensive terrestre israélienne a encore aggravé la crise humanitaire en imposant un blocus total, malgré les dénonciations de la communauté internationale concernant les conséquences dévastatrices et le déplacement forcé de la population.
La France et 25 autres pays ont demandé cette semaine la cessation de l’agression contre la bande de Gaza et rappelé les obligations d’Israël en vertu du droit international humanitaire.
Ils ont également exprimé leur volonté de promouvoir des mesures conduisant à un cessez-le-feu et à la voie politique pour faire en sorte que les Palestiniens et les Israéliens vivent dans la paix et la sécurité.
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