Dans un communiqué publié par le ministère des Affaires étrangères, l’exécutif espagnol a réitéré que les lieux spécialement protégés « ne peuvent pas faire l’objet d’attaques ».
« Il s’agit d’une violation flagrante et inacceptable du droit international humanitaire qui doit faire l’objet d’une enquête ».
Dans une autre partie de la note, le ministère a souligné déplorer la mort des civils et des professionnels de l’information dont le travail est essentiel et doit faire l’objet d’une protection spéciale.
Le communiqué précise que l’Espagne maintient son engagement total envers le droit d’accès à l’information qui est essentiel pour garantir la liberté d’expression et l’accès à l’information de tous les citoyens.
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