Sanchez a souligné que ‘tant que dure la barbarie’ dans la bande de Gaza, où Israël a assassiné plus de 65 000 personnes, dont 20 000 enfants, les mêmes restrictions que celles appliquées à la Russie doivent l’être contre Tel-Aviv.
Lors de sa participation à la réunion de la Commission interparlementaire au Congrès des députés, le chef de l’exécutif espagnol a questionné le fait que des sanctions sévères soient appliquées à la Russie et non pas à Israël.
Dans ses paroles devant les députés, sénateurs et députés, il a souligné que la position de l’Espagne « est claire et catégorique », et ce quelques heures après l’annulation de la dernière étape du Tour d’Espagne pour des manifestations contre le génocide israélien.
Bien qu’il ait précisé qu’il n’est jamais partisan de la violence, en se référant implicitement aux manifestations de ce dimanche à Madrid, il a souligné qu’il ressentait une profonde admiration et un profond respect pour une société civile espagnole ‘qui se mobilise contre l’injustice’.
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