Le chercheur et réalisateur colombien résidant en France a précisé à Prensa Latina qu’il s’agissait d’une présentation en ligne en hommage au 26 juillet, la Journée de la rébellion nationale sur l’île, et que la sortie officielle du matériel d’une heure et 12 minutes est prévue en septembre.
Des associations italiennes de solidarité avec la plus grande des Antilles, les portails Cubainformación, d’Espagne, et Resumen Latinoamericano, en Argentine, ainsi que la chaîne YouTube Europa par Cuba, font partie des collectifs qui se sont engagés la diffuser le documentaire.
La Fabrique de la haine montre des exemples concrets de la guerre intégrale que mènent les États-Unis contre la Révolution cubaine, ses tentatives de diviser les familles et d’opposer la société à ses dirigeants, a expliqué Calvo Ospina.
Selon lui, le documentaire démontre que la propagande subversive des États-Unis va de pair avec le blocus économique, commercial et financier que subit le pays caribéen depuis plus de six décennies.
Le journaliste colombien, également auteur de livres, a souligné la participation au matériel des intellectuels Atilio Borón et Ignacio Ramonet et du communicateur José Manzaneda.
Le documentaire, avec ses témoignages et ses documents d’archives en espagnol, est maintenant disponible en français et en italien, et le réalisateur espère qu’il le sera aussi en anglais et en portugais avant la sortie officielle.
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