Ces déplacements ont eu lieu dans un contexte marqué par des affrontements entre l’armée et le groupe islamiste extrémiste Al-Shabab, a indiqué l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Les tensions sociales et politiques résultant des disputes entre clans influent également sur ce scénario, a indiqué la source.
Selon l’OMS, le pays se remet toujours de l’impact de phénomènes naturels tels qu’une sécheresse intense et des inondations en 2022, qui ont provoqué près de quatre millions de déplacés.
La Somalie, pays de plus de 17 millions d’habitants et sans un Exécutif central fort, vit une crise sécuritaire aiguë depuis que des milices ont renversé en 1991 le président de l’époque, Mohamed Siad Barre.
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