L’OMS précise qu’environ 1 500 enfants sont toujours portés disparus à Gaza, dont beaucoup probablement sous les décombres de bâtiments bombardés pendant plus de 45 jours par l’armée israélienne, attaques qui ont tué 5 000 mineurs.
La concentration de milliers de personnes dans les centres et les écoles de l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine au Moyen-Orient et les pluies de cette saison alimentent le risque d’épidémie. La pneumonie infantile est également en augmentation, signale l’entité.
« En peu de temps, les risques pour la santé publique seront aussi graves que les blessures non traitées lorsque l’eau, la nourriture et le carburant sont si rares », prévient l’OMS.
L’organisme sanitaire internationale s’est inquiétée du système immunitaire des Palestiniens dans la bande de Gaza, car l’apport calorique est inférieur au niveau critique.
L’OMS a appelé à mettre fin aux attaques israéliennes contre les installations hospitalières, qui mettent en danger la vie du personnel médical, des patients et des personnes qui les accompagnent.
peo/mem/joe