« Une pensée particulière au courageux peuple cubain, qui continue de subir un blocus économique et commercial qui touche tous les secteurs économiques, générant des difficultés et des souffrances », a-t-elle souligné dans sa publication hebdomadaire La lettre Électronique Hebdo.
Le message signé par le président de l’organisation fondée en 1995, Víctor Fernández, a dénonçé le gouvernement des États-Unis comme responsable du crime que représente le blocus appliqué depuis plus de six décennies et qualifié les pays de l’Union européenne (UE) de complices.
Nous devons exiger le respect des résolutions votées par la communauté internationale condamnant cette politique de blocus, a-t-elle demandé en référence aux 31 décisions adoptées massivement depuis 1992 par l’Assemblée générale de l’ONU sur la nécessité d’y mettre fin.
CubaCoop, une association française qui promeut et exécute des projets de coopération décentralisée sur l’île, a réitéré le droit du pays caribéen à choisir sa propre voie, sans ingérence ni agression étrangère.
« La politique économique et sociale de Cuba ne se décide pas à Washington, à Miami ou à Bruxelles, seul le peuple cubain libre et souverain peut le faire », a-t-elle manifesté.
Selon l’organisation, son engagement restera ferme en 2024 par un soutien à la plus grande des Antilles, notamment dans son développement socio-économique.
En ce sens, Fernández a mentionné, au nom de CubaCoop, les domaines prioritaires de collaboration, parmi lesquels se distinguent les services d’eau et d’assainissement, le changement de la matrice énergétique avec l’utilisation de sources renouvelables, la sécurité alimentaire, la culture et le sport.
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