Selon un communiqué du SNPH, l’état physique, psychologique et émotionnel des agents est affecté par la dure réalité du moment.
En plus des risques encourus, la situation devient encore plus insoutenable lorsque leurs salaires leur permettent pas d’atteindre la fin du mois, d’où leur départ de l’institution, a déploré le SNPH.
Le syndicat exhorte les hauts responsables à enquêter sur les cas d’agents ayant besoin de soins de santé mentale afin de les aider à poursuivre leurs efforts pour rétablir la paix dans la ville, souligne le communiqué.
Le SNPH a également exigé la fourniture de matériel adéquat et suffisant pour continuer à lutter contre l’insécurité croissante, et de meilleures conditions de travail pour les agents.
Le communiqué appelle par ailleurs les acteurs de la vie politique à travailler de concert avec la police pour mettre fin à la crise de sécurité nationale qui mine le développement de tout le pays.
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