Il a dans ce cadre pu avoir des échanges avec les présidents de l’Éthiopie, Sahle-Work Zewde, et de l’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa.
Lazo a assisté ce samedi aux funérailles de l’État de Geingob, où il a souligné le rôle de l’ancien président namibien en tant que « leader africain incontesté » depuis l’insertion de la Namibie indépendante en 1990.
Il a souligné que Geingob avait défendu avec passion non seulement le droit de son peuple à se forger une nation souveraine, mais qu’il avait aussi contribué à asseoir la portée internationale de la Namibie, en la plaçant à l’avant-garde de la lutte pour le développement des peuples du tiers monde, et de l’Afrique en particulier, tout comme pour l’égalité et la justice.
Nous n’oublierons jamais notre ami, a souligné le leader parlementaire cubain à cette occasion.
Un Baobab est tombé, a conclu Lazo, mais son exemple se multipliera chez les jeunes qui incarnent l’avenir et qui feront de la Namibie un meilleur pays, comme lui l’a rêvé, a-t-il conclu.
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