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Marisol Portugal, responsable de l’Unité des Pronostiques du Senamhi, informe que malgré ces données, il est impossible d’affirmer que la vague de chaleur ait affecté tout le territoire car le rapport est issu de jours différents et régions variées.
Elle affirme que l’absence de précipitations constantes sur le territoire national pourrait être l’une des causes des indicateurs élevés enregistrés.
La spécialiste a expliqué que cette augmentation des températures (supérieures aux 35 degrés dans beaucoup de territoires) est en relation avec les valeurs enregistrées dans le monde par l’Organisation Météorologique Mondiale, l’Administration Nationale de l’Aéronautique et de l’Espace ainsi que de l’Office Météorologique du Royaume-Uni.
Ces organismes s’accordent sur le fait que la Terre a connu l’année dernière les températures les plus chaudes depuis 1880.
Parmi les territoires les plus affectés par la vague de chaleur se détachent Tarija, Reyes, Riberalta y Cochabamba.
Parallèlement aux recherches réalisées par l’Université d’East Anglia, au Royaume-Uni, le Senamhi prévoit pour 2017 que les températures ne seront pas si élevées et que les climats seront plus frais.
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