Le bloc, qui en novembre dernier a accepté des réductions volontaires de son niveau extractif de 2,2 millions de barils par jour au cours du premier trimestre de 2024, a convenu ce dimanche de les prolonger jusqu’au second trimestre.
Selon des analystes, cette prolongation pourrait susciter de nouvelles hausses des cours du pétrole qui dépassent actuellement 80 dollars le baril.
C’est précisément la crainte des investisseurs de voir l’alliance accepter de poursuivre ces réductions qui a été l’une des principales causes de la forte hausse des prix au cours de la semaine écoulée.
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