Ce document réitére l’appel de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies à mettre immédiatement fin au siège en vigueur depuis plus de six décennies, le qualifiant de contraire au droit international et soulignant les dommages qu’il cause au bien-être de la population de Cuba.
Les 33 membres de la Celac ont exigé que l’île soit retirée de la liste arbitraire dressée par Washington des pays qui parrainent prétendument le terrorisme, en rejetant l’existence d’outils comme celui-ci qui affectent les pays d’Amérique latine et des Caraïbes.
En ce sens, ils ont exprimé leur inquiétude quant aux effets négatifs que les sanctions et les mesures unilatérales ont sur les membres du bloc et, par conséquent, sur l’ensemble du sous-continent.
La Celac a ainsi réaffirmé sa position de rejet du système de politiques punitives que la Maison Blanche applique depuis 1962 et renforcé ces dernières années par des obstacles aux relations commerciales normales entre La Havane et le reste de la communauté internationale.
L’organisation a depuis vendredi dernier son huitième sommet à Saint-Vincent-et-les Grenadines.
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