Elle a exprimé son désaccord avec l’utilisation du Conseil des droits de l’homme comme instrument politique pour attaquer les nations qui ont des positions contre hégémoniques et défendent leur approche dans la construction d’un monde multicentrique, multipolaire, de justice, d’égalité et de paix, a indiqué un communiqué.
Le bloc latino-américain et caribéen a rejeté avec force la nuit dernière les affirmations faites par le Haut-Commissariat des Nations Unies dans le contexte de la mise à jour orale sur la situation des droits de l’homme au Venezuela.
L’alliance a qualifié ces déclarations de « mauvaise intervention » et les a considérées comme entachées d’affirmations arbitraires et d’ingérences, trémoignant du manque de respect de « certains fonctionnaires du système des Nations Unies envers la souveraineté et l’indépendance » de pays comme la République bolivarienne du Venezuela
L’ALBA-TCP a indiqué qu’en ce moment Caracas « est en train de démontrer la force de ses valeurs démocratiques, alors que le pays se prépare à ses prochaines élections présidentielles ».
Elle a vivement engagé le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à enquêter « impartialement » sur la réalité vénézuélienne et à dénoncer l’impact négatif des quelque 1 000 mesures coercitives unilatérales imposées par le Gouvernement des États-Unis et d’autres pays.
Le mécanisme d’intégration a noté que ces actions punitives violent le droit international et constituent un « crime contre l’humanité » à l’encontre du peuple vénézuélien.
Les pays de l’ALBA-TCP ont réitéré leur solidarité avec le peuple et le Gouvernement du Venezuela et ont affirmé que celui-ci « reste ferme dans la lutte » pour son droit à l’autodétermination et à la souveraineté, conformément aux principes énoncés dans la Charte des Nations Unies.
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