Nous formons des militaires ukrainiens au Royaume-Uni, de fait nous en préparons 1 500 autres en Pologne, bien que nous souhaitions pouvoir le faire directement sur le territoire de ce pays, mais cela ne signifie pas que nos hommes seront dans les tranchées, a-t-il manifesté.
Pour Pevkur, les déclarations du président français Emmanuel Macron, du transfert de troupes de son pays en Ukraine, concernent plutôt des instructeurs militaires pour l’armée de cette ancienne république soviétique, a souligné le quotidien allemand Die Presse, cité ici par la presse locale.
La réalité est que chaque membre de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord possède déjà des hommes sur le sol ukrainien en tant qu’attachés militaires ou qui y voyagent de temps en temps, a commenté le ministre de la Défense, dont le pays mène une forte campagne anti-russe.
Tallinn considère Moscou comme une menace régionale et plaide, avec Vilnius, Riga et Varsovie, pour un isolement du géant eurasien, une plus grande présence militaire près de ses frontières et pour intensifier la guerre économique à son encontre, souligne la presse locale.
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