Les opérations militaires, les destructions, les restrictions de mouvement et la pauvreté engendrent la peur, l’incertitude et l’anxiété parmi les communautés de réfugiés palestiniens, a déclaré sur X l’institution, qui cite les déclarations de son commissaire général, Philippe Lazzarini.
Lazzarini avait auparavant dénoncé sur le même réseau social l’impact des opérations militaires israéliennes en Cisjordanie sur la vie quotidienne de la population.
Ce qui était autrefois une zone animée avec des marchés et de la vie montre maintenant des signes de destruction, a déclaré Lazzarini en se référant au camp de réfugiés de Nour Shams.
Les gens sombrent dans la pauvreté, a averti le directeur de l’Unrwa, qui a critiqué « la séparation, l’isolement et les restrictions de mouvement » dans ce territoire.
Dans toute la Cisjordanie, l’histoire se répète : la peur, l’incertitude et l’anxiété enveloppent les communautés, a-t-il manifesté.
Lazzarini a appelé à la prévention d’une nouvelle escalade de la violence en Cisjordanie et a condamné l’expansion des colonies israéliennes en estimant qu’elle « éloignera davantage une solution pacifique à ce conflit qui dure depuis des décennies ».
Selon les données officielles, depuis le déclenchement du nouveau cycle de violence le 7 octobre dernier, les forces de sécurité et les colons israéliens ont tué plus de 510 Palestiniens dans ce territoire.
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