Dans la déclaration finale de l’événement, qui a rassemblé dans cette capitale plus de 300 représentants des mouvements sociaux et de gauche de la région, il a également été exhorté à exclure cette nation caribéenne de la liste des pays supposés parrainer le terrorisme.
De même, ils ont affirmé qu’il fallait une CELAC forte et capable d’agir pour exiger la levée des mesures unilatérales imposées par Washington et ses alliés contre des nations comme le Venezuela et le Nicaragua.
Le document mentionne la nécessité de prendre une position active face aux menaces de la chef du Commandement Sud des États-Unis, Laura Richardson, qui a exprimé à plusieurs reprises les désirs impériaux sur les biens communs et les territoires de la région.
«Des dizaines de bases et autres installations étasuniennes persistent encore dans beaucoup de nos pays, l’horizon commun doit être la démilitarisation et la pleine souveraineté», a souligné le communiqué.
Il a souligné qu’il importait que le bloc régional soit dynamisé, non pas simplement pour affirmer que l’Amérique latine est une zone de paix, mais pour progresser vers plus de souveraineté et de droits pour les peuples.
Tout cela, «à travers un agenda social distributif, politique, culturel, économique, social, sanitaire, éducatif, environnemental et énergétique».
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