« Nous voulons fortement remercier, et le faire à nouveau, et toujours remercier le peuple et le gouvernement de Cuba, car ils nous aident en envoyant des spécialistes que nous n’avons pas dans notre pays », a déclaré le président lors de sa conférence de presse quotidienne.
Le chef d’État a rappelé que la politique néolibérale qui a prévalu au Mexique depuis des décennies a abandonné l’enseignement public, surtout au niveau supérieur, et que les jeunes qui voulaient étudier la médecine ont été rejetés sous prétexte qu’ils n’avaient pas réussi l’examen d’admission.
« La vérité est qu’il n’y avait pas assez de budget et que des milliers de personnes ont été rejetées. En fin de compte, le résultat est que nous n’avons pas les spécialistes dont le pays a besoin », a souligné López Obrador, dénonçant cette volonté de privatiser la nation.
Nous avons augmenté le nombre de bourses pour ces professionnels et nous allons laisser (à la fin de son mandat) environ 200 universités régionales de médecine ; de toute façon, elles ne suffisent pas et c’est pour cela que le gouvernement cubain nous aide, a-t-il ajouté.
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