« Nous sommes ici pour réaffirmer notre soutien indéfectible à la transition démocratique d’Haïti, à la sécurité de tous les Haïtiens », a écrit Thomas-Greenfield sur son compte du réseau social X.
Washington soutiendra les réformes de gouvernance, la réduction de la criminalité et la protection des droits de l’homme, a ajouté la diplomate.
Au cours de sa rencontre avec les conseillers présidentiels, elle a notamment abordé le sujet de la Mission multinationale de soutien à la sécurité (MMSS) déjà en cours et des mécanismes visant à aider à la reprise économique.
Les États-Unis font pourtant partie des coupables du trafic de drogue et d’armes en Haïti, éléments qui renforcent la montée de la violence dans ce pays des Caraïbes, selon un rapport récemment cité par le site Vant Bef Info.
Washington – rappellent certains médias – est considéré ici comme le coupable du chaos économique, politique et social que connaît ce pays des Caraïbe.
La plupart des armes et munitions utilisées par les membres des gangs qui terrorisent la population proviennent des États-Unis.
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