Ces forces politiques ont averti des conséquences pour le soutien militaire à l’Ukraine si est prouvée la participation de ce pays dans le sabotage contre cette infrastructure qui transportait du gaz de la Russie à l’Allemagne par la Baltique.
Wilders, dont le parti est majoritaire dans l’exécutif qui a pris ses fonctions en juillet, a envoyé plusieurs questions parlementaires à l’équipe gouvernementale pour demander si les informations selon lesquelles le président Vladimir Zelenski était au courant de l’attaque contre les gazoducs Nord Stream et qu’il avait initialement approuvé cette attaque sont correctes.
Le gouvernement doit clarifier si l’Ukraine est derrière l’attaque Cela pourrait avoir de grandes conséquences, a déclaré le chef du PVV.
Le Wall Street Journal a publié ce jeudi un article exclusif sur la manière dont ledit sabotage a été orchestré, et dans lequel il est affirmé que Zelenski avait initialement approuvé le plan mais qu’il avait ensuite tenté de l’annuler sans succès.
Par ailleurs, la veille, il est ressorti que l’Allemagne a émis un mandat d’arrêt contre un citoyen ukrainien, instructeur de plongée vivant en Pologne, pour son lien présumé avec le sabotage du North Stream.
Cette information a été révélée dans le cadre d’une enquête menée par la chaîne de télévision publique ARD, le journal Süddeutsche Zeitung et l’hebdomadaire Die Zeit, qui ont mis en évidence l’implication ukrainienne dans le sabotage.
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