L’APH a adressé un courrier au Directeur Central de la Police Judiciaire, Pierre René François, pour lui demander un rapport sur les cas de journalistes accusés d’avoir des liens avec des groupes criminels.
Un groupe d’employés de la presse a été arrêté et détenu par ce corps de police, tandis que d’autres sont déjà identifiés dans un document daté du 15 juillet 2024.
Dans sa lettre, l’APH souligne que la démarche de l’organisation n’est pas d’influencer ou d’interférer dans le travail de l’appareil sécuritaire dans sa mission de lutte contre la criminalité.
L’APH doit rassembler des éléments pour une évaluation objective de la situation de ces travailleurs, mais il est nécessaire de tenir une réunion d’information avec les membres de ce syndicat.
La mission de cette entité est de veiller au respect de la liberté de la presse et des normes éthiques et disciplinaires qui régissent l’exercice de la profession de journaliste.
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