Dans son message, il a rappelé que des dizaines de millions de personnes restent plongées dans la pauvreté, la faim et des systèmes de santé et d’éducation déficients qui ne se sont pas encore complètement remis de la pandémie de Covid-19.
Dans le même temps, les inégalités mondiales sont endémiques, les conflits s’intensifient et le droit international est délibérément ignoré.
Selon le diplomate, l’autoritarisme est en marche, tandis que l’espace civique se rétrécit et que les discours haineux alimentent la discrimination, la division et la violence directe.
António Guterres a appelé à défendre les garanties indivisibles établies dans la Déclaration universelle des droits de l’homme il y a 76 ans.
Selon lui, le contexte exige de construire la paix, de faire face aux fléaux de la pauvreté et de la faim et de garantir la santé et l’éducation pour tous.
Il a également plaidé pour la promotion de la justice et de l’égalité pour les femmes, les filles et les minorités ainsi que pour la défense de la démocratie, de la liberté de la presse et des droits des travailleurs.
Le chef de l’ONU a également appelé à promouvoir le droit à un environnement sûr, propre, sain et durable et à défendre les défenseurs des droits de l’homme dans l’accomplissement de leur travail vital.
Selon les Nations Unies, de telles garanties peuvent contribuer à résoudre les tensions et à créer la sécurité et la stabilité nécessaires dans le monde.
De l’accès à l’éducation à l’égalité de rémunération, ladite Déclaration a établi pour la première fois les droits indivisibles et inaliénables de toute l’humanité comme « une norme commune à atteindre pour tous les peuples et toutes les nations ».
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