Sur son compte Telegram, le haut diplomate a déclaré que les actions ont clairement fait comprendre « à quels intérêts elles répondent ».
Il a affirmé que la responsabilité de l’inviolabilité des sièges diplomatiques incombe à l’État hôte et « nous attendons que les autorités dénoncent immédiatement les responsables de ces attentats ».
Le pays et le monde se rendent compte de qui sont « ces détraqués fascistes, capables de s’en prendre aux intérêts du peuple vénézuélien », a-t-il indiqué.
Gil a demandé lundi aux autorités de plusieurs pays la célérité dans les enquêtes sur les attentats contre des consulats du Venezuela à l’étranger.
Il a déclaré qu’il s’agissait « d’une action coordonnée par les commanditaires du fascisme déjanté » qui ont attaqué plusieurs installations diplomatiques.
Il a insisté sur le fait que lesdits consulats ont été attaqués par « des extrémistes qui font le même mal à nos sièges diplomatiques qu’ils veulent faire à notre chère patrie bolivarienne ».
Le ministre a demandé aux autorités de Lisbonne (Portugal), Francfort (Allemagne), Medellin (Colombie), Vigo (Espagne) et San José (Costa Rica) d’enquêter sur les responsables ayant visé des installations diplomatiques du pays sud-américain et que « l’intégrité de nos installations soit garantie, comme le prévoit la Convention de Vienne ».
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